Aux États-Unis, chez les Marines, une tradition veut que les officiers mangent en dernier. Cette idée, qui met les besoins de l’équipe avant ceux des chefs, a captivé l’expert Simon Sinek. Il s’est alors interrogé sur ce qui distingue les bons des mauvais leaders et sur la manière dont les meilleurs parviennent à gagner la confiance de leurs équipes.

Pour Sinek, être leader ne se résume pas à prendre des décisions solitaires. C’est surtout instaurer un environnement qui favorise la solidarité et empêche le désengagement. En se basant sur son expérience et sur les recherches en neurosciences, il explique que lorsque les salariés se sentent bien et que le leader incarne l’appartenance et l’exemplarité, les performances de l’équipe sont remarquables. En revanche, si la confiance est rompue, les membres de l’équipe passent leur temps à se protéger les uns des autres, mettant l’organisation en danger.

Ce best-seller international remet en question les idées préconçues sur le leadership. Il propose une nouvelle conception où le leader se met au service de son équipe. Pour Sinek, les grands leaders se préoccupent sincèrement du bien-être de ceux qu’ils dirigent.