Cette œuvre de l’imâm al-Haddâd, la plus longue qu’il ait écrite, a été achevée en 1089 de l’Hégire. Il avait presque fini la moitié avant de partir pour le hajj, où les chapitres furent lus à La Mecque et Médine, où il fut acclamé comme un grand savant.

En islam, la sincérité et l’intention sont cruciales pour le croyant. Al-Ghazâlî affirme que l’intention pure et l’action sincère mènent au salut. Le Prophète a dit : « Les actes ne valent que par leurs intentions. »

Un groupe d’amis musulmans francophones m’a demandé d’expliquer les aspects essentiels de la Tariqah Tidjaniyya, la voie spirituelle de Cheikh Ahmad Tidjanî. J’ai accepté en priant Dieu de me guider et de me préserver des erreurs.

Le Livre du Repentir, dans l’Ihya ‘Ulum ad-Din de Ghazâlî, est un texte clé pour ceux qui cherchent à se rapprocher de la connaissance spirituelle. Il est structuré autour de trois éléments : le savoir, l’instant présent et l’action. Le repentir y est vu comme une étape nécessaire pour se purifier et se préparer à la contemplation de l’Au-Delà.

La Tariqa naqshbandî est l’une des confréries soufies les plus répandues dans le monde musulman. Son maître actuel, Cheikh Nazîm, né à Chypre en 1922, est le quatrième maillon de la chaîne initiatique. Il est lié par son père à Abd al-Qadir al-Jîlanî, le fondateur de l’ordre soufi qadiri, et par sa mère à Jalal al-Dîn ar-Rûmî, le créateur des derviches tourneurs.

Cet ouvrage explore la notion fascinante de la sainteté et surtout celle du Sceau des saints, le dernier des saints sur terre. Que signifie réellement ce Sceau ? Le grand maître soufi al-Hakîm at-Tirmidhî lève le voile sur cette énigme, et Ibn ´Arabî approfondit le sujet. Au cœur de l’eschatologie islamique, cette question interroge la signification de cette fonction et comment la reconnaître.